Arnaud Meilland (Bureau Clio Sàrl, Martigny)
Si avant la débâcle du 16 juin la gestion du danger occupe principalement les autorités locales (communes et dizains de Martigny et d’Entremont) – soutenues par le Conseil d’État et les dizains de Saint-Maurice et Monthey – il en va différemment après la catastrophe. Le gouvernement cantonal prend les choses en main et s’occupe de l’organisation générale des secours.
Dès le lendemain de la catastrophe, le gouvernement cantonal envoie une commission dans la zone sinistrée afin d’évaluer la situation et prendre les premières mesures de secours. Composée du vice-bailli Nicolas Roten , du secrétaire d’État Isaac de Rivaz, des majors Adrien Zimmermann et Charles d’Odet et du docteur Bonaventure Bonvin1, elle arrive à Martigny le 17 juin2, après avoir averti les communes traversées depuis Sion qu’elles étaient en état de réquisition3. À ce moment-là, la peur est omniprésente au sein de la population martigneraine. Cette dernière ignore encore tout de la situation dans la vallée de Bagnes, car aucune information n’a circulé ; personne ne sait non plus si le lac s’est complètement vidé. Les avis à ce sujet sont d’ailleurs plutôt pessimistes, car la Dranse est encore noire comme avant l’accident4, ce qui aux yeux de la population locale ne présage rien de bon.
Face aux nombreuses urgences, la commission organise rapidement les premiers secours. Une des priorités concerne le rétablissement du pont de la Bâtiaz. Il s’agit d’un point essentiel, car avec sa destruction, c’est l’accès principal à la vallée du Rhône qui est coupé. Les travaux sont rondement menés : en quatre jours, un pont provisoire est rétabli grâce à des aides extérieures (450 journées de travail d’homme5) et, le soir du 20 juin, les premières voitures y circulent à nouveau6. D’autres mesures sont prises concernant notamment la défense contre la Dranse, qui a changé de cours, et le déblaiement des voies de communication. Deux commissaires, le docteur Bonaventure Bonvin et le major Charles d’Odet, s’occupent également de la pénible tâche de la levée de corps des victimes dès le 18 juin7.
Les premiers jours passés, le gouvernement décide de nommer un commissaire responsable pour chacun des deux dizains touchés par la débâcle : Charles d’Odet est envoyé dans l’Entremont – il y arrive le 20 juin –, alors qu’Adrien Zimmermann reste à Martigny8. Ces commissaires incarnent en quelque sorte les postes avancés des secours sur le terrain. Leurs tâches sont multiples : évaluer la situation, fixer des priorités, organiser et coordonner les opérations avec l’aide des autorités communales et désénales, qui sont sommées de collaborer. Leur travail n’est pas simple, car ils doivent composer non seulement avec une situation inhabituelle où les urgences sont nombreuses, mais aussi avec une population locale mise à rude épreuve par le désastre. En outre, les priorités des uns ne sont pas toujours compatibles avec celles des autres. Les opérations entreprises consistent principalement à rétablir les voies de communication (routes, chemins, ponts), à maîtriser le cours de la Dranse et à déblayer ce qui peut l’être9. Pour ce faire, les commissaires réquisitionnent des hommes et des chars dans les communes voisines. Il s’agit d’une main-d’œuvre utile mais sa gestion se révélera compliquée10. Les commissaires rendent compte en permanence de toutes ces activités au chef du gouvernement, le grand bailli Charles Emmanuel de Rivaz. Ils rédigent des rapports qui permettent de faire remonter des renseignements utiles à la gestion des secours, comme les difficultés rencontrées, les besoins pour y faire face, les succès, les conseils émanant d’étrangers en visite dans les zones sinistrées ou encore les réactions de la population locale11. Ces documents sont une source d’information de premier ordre pour comprendre l’organisation des secours après la débâcle.
A la fin juin et au début juillet, d’autres commissaires prennent le relais : Joseph Marie de Torrenté , Ignace Venetz et Isaac de Rivaz12. Ce dernier, qui était déjà venu à Martigny au lendemain de la catastrophe, restera en mission dans la zone sinistrée pendant presque tout l’été, puis y reviendra ponctuellement par la suite, tout comme l’ingénieur Venetz13. Ses compétences techniques expliquent sans doute son engagement de longue durée. En parallèle à ces commissaires, le Conseil d’État met en place deux commissions. La première est nommée le 27 juin et doit s’occuper du cours de la Dranse à Martigny14. La deuxième met plus de temps à être constituée : il s’agit du Comité de bienfaisance qui a pour mission de répartir équitablement entre les sinistrés l’ensemble des dons et du produit des collectes en argent ; cet organe joue un très grand rôle dans les secours matériels apportés aux sinistrés15.
Tous les commissaires gouvernementaux envoyés sur les lieux de la catastrophe sont des hommes d’expérience, rompus aux travaux militaires pour la plupart, et déjà très actifs dans des fonctions publiques lors de la période troublée que le Valais a traversée entre 1798 et 1815. La gestion des secours sur le terrain n’est donc pas confiée à n’importe qui. Malgré ce cumul d’expérience, la plupart d’entre eux souffrent de leur engagement intense. Leur santé est mise à mal. Alors qu’on lui avait promis de le relever après trois jours, le major Charles d’Odet, envoyé dans l’Entremont, voit sa mission prolongée malgré une rage de dent qui le rend fou et l’empêche de dormir16. Le docteur Bonaventure Bonvin, qui s’est occupé de la levée de corps, ne se sent pas bien le 28 juin. Il demande à rentrer chez lui pour quelques jours afin de se soigner et de prévenir une maladie dont il craint les symptômes17. Son nom n’apparaissant plus dans les rapports après le 30 juin, sa demande a sans doute été acceptée. Enfin, au début juillet, la santé du commissaire Joseph Marie de Torrenté est « fortement chancelante » ; il souffre de dysenterie18. Il rentre en catastrophe à Sion le 7 juillet, sur un « char garni de matelas, n’ayant pu supporter autrement le voyage »19.
L’activité d’Ignace Venetz lors des événements de 1818 est monumentale. En tant qu’ingénieur cantonal, il est envoyé par le gouvernement au fond de la vallée de Bagnes dès le 8 mai20. Chargé d’exécuter des travaux de prévention au glacier, il œuvre sans relâche jusqu’au 16 juin, date à laquelle il assiste impuissant à la débâcle. Il avait pourtant été rappelé à Sion par le Conseil d’État le 9 juin, mais avait refusé « de laisser le travail sans directeur ».21 Après le 17 juin, il rentre sans doute chez lui, laissant la place aux commissaires du gouvernement.
Si son engagement est impressionnant avant la débâcle, il le sera tout autant après. Dès la fin juin, Venetz est de retour dans la zone sinistrée. Il faut dire que sa présence est réclamée depuis plusieurs jours par certaines autorités locales22. On a besoin de ses compétences pratiques pour faire face aux problèmes d’envergure. Il est alors appelé sur tous les fronts des travaux d’urgence afin de restaurer les voies de communication détruites et de donner un nouveau cours à la Dranse. Il fait d’ailleurs partie de la commission nommée par le Conseil d’État pour s’occuper de la rivière et de l’établissement des digues23. Son projet de direction du cours d’eau est accepté par les autorités locales24.
Au début juillet, le Conseil d’État souhaite rappeler son ingénieur à Sion, mais le commissaire de Torrenté ne veut pas le laisser partir. Ignace Venetz consent à rester25. Lorsque ce même commissaire est contraint de quitter son poste quelques jours plus tard, c’est lui qui est nommé à sa place26. Il rédige alors des rapports de situation pour le grand bailli jusqu’à la mi-juillet27. Son activité s’avère intense puisqu’il cumule les fonctions d’ingénieur et de commissaire. Il est par exemple très sollicité par les Entremontants qui veulent à tout prix un chemin pour mulets entre Sembrancher et le Bourg de Martigny, car, en tant que propriétaires de vignes à Martigny et Fully28, « ils trouvent un très grand inconvénient de transporter le vin et leurs effets par le Levron »29. Fatigué, l’ingénieur demande le 14 juillet au Conseil d’État la permission de rentrer à Sion : « Cette vie m’est devenue insupportable, et je suis décidé à faire des changements sur mon sort. »30 Sa requête est sans doute acceptée, car il n’écrit plus de rapport après cette date.
L’engagement d’Ignace Venetz ne s’arrête pourtant pas là. Contrairement aux commissaires qui, à l’exception d’Isaac de Rivaz, reçoivent des missions allant de quelques jours à une dizaine, ses fonctions d’ingénieur cantonal l’appelleront par la suite régulièrement sur les lieux du désastre. On le retrouve dans l’Entremont dès le 23 juillet, où il entreprend une montée au glacier du Giétro en compagnie du Zurichois Hans Conrad Escher de la Linth afin d’y évaluer la situation. La fatigue est pourtant toujours là : il rebrousse chemin au mayen de Madzeria, laissant son compère atteindre la barre de glace sans lui31. Malgré son affaiblissement, il met beaucoup d’énergie le jour même à dresser des plans pour le tunnel de la Monnaie (entre Sembrancher et Bovernier) et à convaincre le commissaire Isaac de Rivaz que de nouveaux travaux doivent être entrepris au Giétro pour éviter une catastrophe l’année suivante. De Rivaz rapporte à ce sujet au grand bailli : « Cet ingénieur a mis une importance extrême à me présenter cette situation comme très périlleuse.» 32 L’énergie de Venetz, secondée par les compétences et l’autorité de Hans Conrad Escher de la Linth, permet de mettre en branle des travaux préventifs au glacier et d’éviter ainsi une nouvelle débâcle de grande ampleur les années suivantes. L’ingénieur cantonal jouera encore un rôle de premier plan dans ces ouvrages en trouvant une solution originale au problème33.
L’engagement d’Ignace Venetz lors des événements de 1818 force le respect. Placé en première ligne en raison de sa fonction d’ingénieur cantonal, ce jeune homme de tout juste 30 ans a su affronter cette situation périlleuse avec un grand pragmatisme et en faisant preuve d’un engagement sans faille. L’expérience accumulée lors de ces heures difficiles le conduira à mener des recherches qui participeront à l’élaboration de la théorie des glaciers et au développement d’une nouvelle science : la glaciologie.
Si les commissaires et l’ingénieur cantonal sont les agents du gouvernement sur le terrain, le Conseil d’État incarne le quartier général des secours. En effet, le canton ne dispose pas d’une infrastructure particulière pour faire face à ce type d’événement. C’est donc le grand bailli Charles Emmanuel de Rivaz qui s’en charge en personne, avec l’appui des conseillers d’État.
L’activité soutenue du gouvernement et son rôle central se perçoivent à travers un document particulier : un registre qui répertorie l’ensemble de la correspondance reçue et envoyée par le grand bailli et le Conseil d’État. Les lettres y sont inventoriées avec un minimum d’information et classées en plusieurs rubriques : mesures générales prises avant l’inondation, mesures générales prises après l’inondation, paiements des dommages aux étrangers, vente des bois emmenés jusqu’au lac Léman, vente des bois arrêtés à Martigny, collectes étrangères, collectes intérieures, Comité de bienfaisance, rétablissement des routes entre l’Entremont et Martigny, et encore mesures pour prévenir de nouveaux malheurs. Le cahier comporte 62 pages et mentionne près de 400 missives reçues et plus de 300 envoyées entre le 8 mai 1818 et la fin de l’année 182034. On y découvre toute l’étendue du rôle joué par le gouvernement : ses contacts avec les commissaires sur le terrain, mais aussi avec les autorités locales, les dizains voisins, les cantons suisses, les donateurs, les étrangers touchés par la débâcle, etc. Y figurent aussi les ordres donnés pour faire venir des secours en main-d’œuvre et en nourriture ou pour favoriser les actions sur le terrain.
Le grand bailli peut compter sur un relais important auprès de la Confédération suisse : la députation valaisanne à la Diète fédérale, composée de Gaspard Eugène de Stockalper et de Gaspard Étienne Delasoie. Ce dernier est particulièrement touché par la débâcle puisqu’il est originaire de Sembrancher et a subi lui-même des dégâts matériels. Il est d’ailleurs en contact dès le 18 juin avec le grand bailli, qui est un cousin : il lui transmet des informations sur la situation en Entremont35. Lorsqu’il se rend à la diète fédérale qui se tient à Berne dès le 6 juillet, il lui écrit : « C’est avec bien de peine que je quitte mes foyers en ce moment. Il n’y a que le sentiment du devoir qui m’y détermine. »36
Ce devoir est en effet important, car la position de Delasoie lui permet d’inciter les députés des autres cantons à venir en aide aux sinistrés. Dès le 7 juillet, il transmet au grand bailli des renseignments concernant la réaction des Confédérés face à la débâcle. Il s’agit d’informations essentielles qui doivent permettre d’obtenir des secours plus importants de leur part : sur suggestion de certains députés, Delasoie demande au chef du gouvernement valaisan de rédiger un rapport circonstancié de l’événement, qui sera distribué à l’ensemble des cantons, et de former une commission qui inspire la confiance pour la répartition des dons37. Une fois ces mesures appliquées, l’aide financière des autres cantons se révélera considérable38.
Dans les zones sinistrées, les autorités communales et désénales jouent aussi un rôle essentiel dans les secours, mais en raison d’archives moins abondantes, ce dernier est plus difficile à évaluer. Il est cependant certain que les communes et les dizains ne se contentent pas d’appliquer simplement les directives gouvernementales. Malgré la situation difficile dans laquelle ils se retrouvent, ils font preuve d’un certain dynamisme : on les voit prendre part aux décisions importantes, notamment en ce qui concerne les travaux39, réclamer de l’aide40 ou relayer des renseignements utiles aux représentants du gouvernement ou même directement au grand bailli41. Au besoin, ils défendent âprement leurs intérêts face aux autres sinistrés ou face aux exigences du canton42. Les présidents des dizains, Frédéric Gard pour Bagnes et Philippe Morand pour Martigny, sont des appuis importants dans toutes ces démarches. Leur engagement, déjà avant la débâcle, est essentiel. Enfin, les curés des paroisses participent également à l’effort commun, même si on mesure mal l’ampleur de leur action en dehors du Comité de bienfaisance43. Deux témoignages en donnent pourtant une petite idée : le doyen Bridel relate dans un de ses récits de la débâcle que le prieur de Martigny passe la première nuit suivant la catastrophe avec ses paroissiens dans le campement improvisé du Mont-Chemin44 ; le 23 août 1818, alors que le curé de Bagnes est pressenti pour reprendre le poste de procureur de l’Abbaye laissé vacant depuis le décès accidentel du chanoine Meilland au pont de la Bâtiaz le 19 juin45, le président de Bagnes écrit à l’abbé de Saint-Maurice pour lui demander de leur laisser leur « zélé, vertueux et charitable » curé qui leur est alors indispensable, en raison de son engagement pour les sinistrés et de ses relations utiles46.
1. AEV, 3 DTP 28.2.16. Lien vers l'inventaire. Voir le document.
AEV, 3 DTP 28.2.17. Lien vers l'inventaire. Voir le document.
AEV, 3 DTP 28.2.18. Lien vers l'inventaire. Voir le document.
AEV, 3 DTP 28.2.40. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
2. AEV, 3 DTP 28.2.16. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
3. AEV, 3 DTP 28.8. p. 13 (17 juin). Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
4. AEV, 3 DTP 28.2.16. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
5. AGSB, 5006, Lettre du grand bailli (13.10.1818). Voir le document. ↑
6. AEV, 3 DTP 28.2.24. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
7. AEV, 3 DTP 28.2.18. Lien vers l'inventaire. Voir le document ; Voir le chapitre Les victimes, chiffres incertains et destins tragiques. ↑
8. AEV, 3 DTP 28.2.28. Lien vers l'inventaire. Voir le document ; AEV, 3 DTP 28.8, p. 13 (20 et 22 juin). Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
9. Voir La reconstruction: opérations d’urgence et prévention. ↑
10. Voir Ombres au tableau des secours. ↑
11. Principalement : AEV, 3 DTP 28.2. Lien vers l'inventaire ; AEV, 3 DTP 28.3. Lien vers l'inventaire. Pour consulter la liste des documents numérisés dans les dossiers 28.2 et 28.3, voir l'index des documents numérisés. ↑
12. AEV, 3 DTP 28.2.39. Lien vers l'inventaire. Voir le document.
AEV, 3 DTP 28.3.12. Lien vers l'inventaire. Voir le document.
AEV, 3 DTP 28.4.5. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
13. Par exemple : AEV, 3 DTP 28.8 p. 17 (16 mars et 19 mai 1819). Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
14. Voir La reconstruction : opérations d’urgence et prévention. ↑
15. Voir Le Comité de bienfaisance. ↑
16. AEV, 3 DTP 28.2.32. Lien vers l'inventaire. Voir le document ; AEV, 3 DTP 30.2.1/2. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
17. AEV, 3 DTP 28.2.42. Lien vers l'inventaire. Voir le document ; AEV, 3 DTP 28.2.46. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
18. AEV, 3 DTP 28.3.3. Lien vers l'inventaire. Voir le document ; AEV, 3 DTP 28.3.4. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
19. AEV, 3 DTP 28.3.10. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
20. AEV, Vieux-Monthey, 2958. Lien vers l'inventaire. Voir le document ; AEV, de Rivaz, Rz 153, p. 45-135. Voir le document. ↑
21. AEV, 3 DTP 28.2.5. Lien vers inventaire. Voir le document. ↑
22. AEV, 3 DTP 28.2.32. Lien vers l'inventaire. Voir le document ; AEV, 3 DTP 30.2.1/2. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
23. AEV, 3 DTP 28.2.34. Lien vers l'inventaire. Voir le document ; AEV, 3 DTP 28.2.44. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
24. AEV, 3 DTP 28.2.43. Lien vers l'inventaire. Voir le document ; AEV, 3 DTP 28.2.45. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
25. AEV, 3 DTP 28.3.3. Lien vers l'inventaire. Voir le document ; AEV, 3 DTP 28.3.4. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
26. AEV, 3 DTP 28.3.10. Lien vers l'inventaire. Voir le document ; AEV, 3 DTP 28.3.12. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
27. AEV, 3 DTP 28.3.14. Lien vers l'inventaire. Voir le document ;
AEV, 3 DTP 28.3.16. Lien vers l'inventaire. Voir le document ;
AEV, 3 DTP 28.3.18. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
28. Voir Christine Payot, Arnaud Meilland, Mélanie Hugon-Duc et alii, Forain forever. Pour une goutte de vin, il faut bien descendre, 2017, 267 pages. ↑
29. AEV, 3 DTP 28.3.18. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
30. AEV, 3 DTP 28.3.18. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
31. AEV, 3 DTP 28.3.25. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
32. AEV, 3 DTP 28.3.25. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
33. Voir La reconstruction: opérations d’urgence et prévention. ↑
34. AEV, 3 DTP 28.8. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
35. AEV, 3 DTP 28.2.20. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
36. AEV, 3 DTP 28.3.1. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
37. AEV, 3 DTP 29.4.1. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
38. Voir Un vaste élan de générosité↑
39. Par exemple : AEV, 3 DTP 28.2.43. Lien vers l'inventaire. Voir le document.
AEV, 3 DTP 28.4.9. Lien vers l'inventaire. Voir le document.
AEV, 3 DTP 28.3.28. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
40. Par exemple : AEV, 3 DTP 30.2.1/2. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
41. Par exemple : AEV, 3 DTP 30.1.1/5. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
42. Par exemple : AEV, 3 DTP 29.1.1/9. Lien vers l'inventaire. Voir le document ;
AEV, 3 DTP 29.1.1/10. Lien vers l'inventaire. Voir le document ;
voir aussi Ombres au tableau des secours. ↑
43. Par exemple : AEV, 3 DTP 28.2.37. Lien vers l'inventaire. Voir le document AEV, 3 DTP 29.3.1/5. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
44. 16 juin 1818 : Débâcle du Giétro, collection du Musée de Bagnes n°1, 1988, p. 115. ↑
45. Voir Les victimes, chiffres incertains et destins tragiques. ↑
46. AC Bagnes, P 791. ↑