Arnaud Meilland (Bureau Clio Sàrl, Martigny)
L’élan de solidarité qui suit la débâcle dépasse largement les frontières cantonales et même fédérales. Il s’exprime de différentes manières, selon le rayon d’action et les moyens matériels et financiers des donateurs : corvées d’hommes et de chars pour les travaux d’urgence sur le terrain, dons en nature (pain, céréales, etc.) et en argent, accueil des enfants des sinistrés, désintéressement de créanciers, soutiens familiaux et communautaires, etc. Cette aide, pas toujours facile à mesurer, est parfois spontanée et privée, parfois dirigée par les autorités politiques.
Les collectes en argent représentent un rouage essentiel de cette solidarité. Dès la fin juin, grâce à des initiatives personnelles ou des démarches des pouvoirs publics, les premières sont organisées. Parmi toutes celles qui sont mises en place, deux sortent du lot : la souscription des Anglais et les collectes des cantons suisses. D’autres dons, provenant principalement de l’étranger, viennent également grossir ces recettes.
L’amour des Anglais pour les Alpes est une histoire ancienne et bien connue. Depuis la fin du XVIIIe siècle, leur présence est d’ailleurs avérée en Valais1. Il n’est donc pas étonnant d’en trouver quelques-uns au nombre des sinistrés de la débâcle du 16 juin 18182. Cela est plus surprenant de voir la rapidité avec laquelle certains ressortissants de ce pays vont agir pour organiser des collectes, preuve de leur attachement pour la région sinistrée, mais aussi sans doute d’un certain savoir-faire en la matière.
Cinq jours à peine après le 16 juin, un Anglais, Edward Greathed, est mis en relation avec le grand bailli du Valais Charles Emmanuel de Rivaz3. Il souhaite obtenir des informations sur la catastrophe. Peu après, le 29 juin, il se joint à quelques compatriotes pour ouvrir une souscription anglaise. Le comité d’organisation, basé à Lausanne, est composé de Stratford Canning, ambassadeur anglais, qui en est le président, J. T. Capel, George Hankin, Edward Greathed, J. Smith Wright et le révérend Thomas Jones ; que du beau monde en quelque sorte ! Cette collecte privée s’adresse aux Anglais qui se trouvent en Suisse et qui connaissent ce « beau pays »4. Un imprimé en anglais est réalisé aussitôt, et sans doute diffusé dans toute la Confédération. Outre les indications pratiques, il contient les noms des premiers donateurs, dont les membres du comité, et les montants qu’ils ont donnés5, afin d’inciter la générosité par l’exemple.
La souscription reste ouverte jusqu’à la fin septembre 18186. Elle réunit un montant équivalent à 9561 francs de Suisse, réduit à 8816,20 francs, après quelques déductions inévitables, même si les banquiers n’ont rien demandé pour leur travail7. La somme est déposée à la banque de Molin et Cie à Lausanne et est à disposition des autorités valaisannes dès le début octobre. Des listes nominales des souscripteurs ont été conservées8. Les individus y sont classés par villes : 50 à Lausanne, 29 à Genève, 5 à Berne, 2 à Bâle, 5 à Zurich, 1 à Neuchâtel, mais aussi 11 à Paris et 10 à Londres. On y apprend également qu’une souscription spécifique a été ouverte à Genève sous la présidence de Lord Caledon : 52 individus y ont participé. En tout, ce ne sont donc pas moins de 165 individus qui souscrivent à cette collecte. Avec un don de 337 francs de Suisse (500 francs de France) chacun, les deux plus généreux donateurs sont Stratford Canning, président du comité, et W. Thomas Athorpe, qui se trouvait à Martigny au moment de la débâcle. Bel exemple de générosité d’un individu qui pourtant a failli laisser sa vie et a subi des pertes ! À noter encore qu’un certain Milton fait un large don après la fermeture de la souscription, faute d’avoir pu le faire dans les temps9.
En marge de cette souscription, le prieur de Martigny, Joseph Darbellay, reçoit également de nombreux dons d’étrangers de passage, principalement des Anglais. Sous l’impulsion de Stratford Canning, il sollicite ces secours à l’aide de trois affiches adressées « aux illustres voyageurs »10, qui sont réparties dans deux auberges de Martigny et au prieuré du même lieu11. Durant tout l’été, le prieur est en contact avec le comité de Lausanne, par l’intermédiaire d’Élisabeth Jeanne de Cerjat et du frère de cette dernière, Charles de Cerjat, membres d’une famille de la noblesse vaudoise dont le père avait acquis la nationalité britannique12. Avec l’accord du prieur, l’argent ainsi perçu est additionné à la souscription anglaise13.
Le comité dirigé par Startford Canning a des exigences quant à la destination de tout cet argent récolté par ses soins. Il souhaite tout d’abord que le prieur de Martigny soit un des membres qui distribue une partie de la souscription14, volonté qui sera respectée puisque ce dernier fera partie du Comité de bienfaisance15. Il précise également que « c’est l’intention des souscripteurs et bien la nôtre que cet argent soit appliqué exclusivement au soulagement des familles les plus indigentes qui ont souffert de l’inondation » ; il faut « donner en général la préférence aux familles qui habitent les parties les plus reculées du territoire inondé, et qui par conséquent se sont trouvées le moins dans le cas de recevoir d’autres secours »16.
Pour finir, cette collecte n’est pas la seule effectuée par des Anglais. Une autre est mise sur pied à Londres, grâce à l’entremise d’un jeune Vaudois, Victor Gex, commis dans la maison de M. L. A. de la Chaumette, négociant de la ville. Ce dernier, averti par son employé, organise dès le mois de juillet 1818 une souscription qui rencontrera également un beau succès17.
L’efficacité des Anglais est donc impressionnante. En termes de collectes, seul le gouvernement vaudois sera plus prompt. Cette rapidité d’exécution semble indiquer que la mécanique anglaise est bien huilée ! D’autant qu’il s’agit d’une générosité affichée, puisque tous les donateurs sont nommément mentionnés à quelques exceptions près, contrairement à la plupart des bienfaiteurs des autres collectes. Pour les Anglais, soigner son image et celle de son pays est à l’évidence un moteur à la générosité.
En été 1818, cela ne fait que trois ans que le Valais a intégré la Confédération helvétique, même s’il en était depuis longtemps un allié proche. L’appartenance à ce corps politique, récemment régénéré par le Conseil de Vienne, lui offre des perspectives nouvelles, malgré les réticences du début. Au lendemain de la débâcle, les autorités valaisannes font pourtant preuve d’un certain manque de réaction en oubliant de tenir informés leurs confédérés. C’est l’avoyer Niklaus Friedrich von Mülinen de Berne, canton directeur de la Confédération, qui adresse un courrier au grand bailli Charles Emmanuel de Rivaz le 23 juin : il déplore à demi-mots le fait d’avoir été averti de la catastrophe uniquement par des lettres du canton de Vaud18. Les automatismes confédéraux ne semblent pas encore acquis du côté valaisan ! Pourtant, par la suite, l’aide des cantons se révélera d’un apport considérable.
Parmi les cantons suisses, les autorités vaudoises sont les premières à réagir après la catastrophe en organisant dès le 26 juin une collecte générale dans tout leur territoire19. Cette promptitude n’est pas étonnante, dans la mesure où ces autorités étaient au courant depuis le 12 mai qu’une débâcle se préparait au fond de la vallée de Bagnes. Averties par les « bruits publics », elles avaient même dépêché Jean de Charpentier, directeur des mines de sel de Bex, pour évaluer la situation au glacier du Giétro, avant même que le Conseil d’État valaisan ne les prévienne officiellement, ce qui fut fait à peine deux jours plus tard20. Il faut dire qu’une partie du territoire vaudois était potentiellement menacé. La collecte du canton de Vaud rencontre un grand succès. L’argent arrive en Valais dans la deuxième moitié d’août, à peine deux mois après la catastrophe21. Aucune autre collecte privée ou publique ne fait mieux. Elle participe ainsi au soulagement des familles les plus pauvres dès le début septembre.
Les quêtes dans le reste du pays, à part peut-être à Genève – qui était aussi en contact avec le Valais avant la débâcle22 – et à Berne – qui a fait un don d’urgence de 4000 livres suisses23 – démarrent plus tard. Il faut attendre l’ouverture de la diète fédérale qui commence le 6 juillet pour que les choses bougent. Un « tableau touchant » des malheurs de la vallée de Bagnes et de Martigny est brossé à l’ouverture de la diète par l’avoyer de Berne von Mülinen. Le député valaisan Gaspard Delasoie, de Sembrancher, relate dans une lettre destinée au grand bailli de Rivaz que plusieurs députés des autres cantons s’étonnent que le Conseil d’État du Valais ne leur ait pas encore donné de relation officielle de l’événement, car cela pourrait lui procurer des secours plus abondants24. La chose est réparée le 9 juillet, date à laquelle les autorités valaisannes envoient une lettre circulaire à tous les États confédérés, pour leur présenter la situation et pour solliciter leurs secours fédéraux25. Un rapport circonstancié est également transmis au canton directeur, par l’intermédiaire de la députation valaisanne. Cette action officielle était nécessaire, car, comme le rapporte le député Delasoie dans une lettre datée du 20 juillet, « nos voisins sont convaincus et bien touchés de nos malheurs ; ceux qui sont un peu plus éloignés sont plus ou moins portés à croire que les gazettes, les récits de brochure ont plus ou moins exagéré ; et enfin l’on aime à croire ce qui est annoncé officiellement »26.
Depuis cette date, tous les cantons, à l’exception de Saint-Gall qui est aussi dans une situation difficile27, entreprennent des collectes sur leur territoire, avec plus ou moins de célérité. Certains députés de la Diète fédérale jouent un rôle actif, comme Joseph Des Arts à Genève28 ou von Mülinen à Berne29. L’argent de la plupart de ces quêtes arrive en Valais entre l’automne 1818 et le printemps 1819, mais il faudra attendre le mois de mars 1820 pour que le Tessin fasse parvenir sa contribution30. En envoyant les montants collectés, les cantons font parfois part de quelques exigences. C’est le cas par exemple du canton de Vaud, qui demande que l’argent soit employé « au soulagement des personnes que la catastrophe a rendu les plus malheureux en leur laissant la moindre ressource », ou du canton de Genève, qui précise que la collecte soit « uniquement destiné(e) à soulager, sans distinction de religion ou de patrie, mais en raison de leurs besoins, les malheureux habitants des vallées victimes des désastres du mois de juin dernier »31. Cette dernière remarque n’est pas anodine, puisque deux ressortissants genevois (Isaac Kolb et Joseph Pinon), qui possédaient des fabriques en Valais, ont subi de très grosses pertes lors de la débâcle. Le grand bailli de Rivaz comprend d’ailleurs très bien le message32.
Les collectes menées aux quatre coins de la Confédération (sans le Valais) rapportent 136 845,69 francs suisses, ce qui représente environ 80% de l’ensemble des dons faits pour les sinistrés. Les cantons de Berne et de Vaud sont de loin les plus généreux avec respectivement 26 891,02 et 26 121,18 francs suisses. L’aide confédérale a donc joué un rôle primordial dans les secours octroyés aux sinistrés, même si elle semble s’être limitée à ces collectes. La situation est semblable à celle qui avait prévalu à Goldau (Schwytz) en 1806, à peine douze ans plus tôt. Suite à l’effondrement d’une montagne qui avait coûté la vie à près de 500 personnes, l’ensemble des cantons avait fait preuve de générosité : une première dans l’histoire suisse33. L’aide y avait été non seulement financière, mais aussi humaine avec l’envoi d’équipes de secours de la part de certains cantons, ce qui, devant les difficultés de mise en œuvre d’une telle mesure, ne sera pas répété dans le cas de la débâcle du Giétro. Cette solidarité confédérale a sans doute joué un rôle dans le resserrement des liens entre États confédérés. Elle offre donc au Valais, trois ans après son entrée dans la Confédération helvétique, l’occasion d’apprécier les avantages d’une telle association. D’autant que les réseaux suisses à l’étranger (régiments suisses en France, consulat à Londres, Marseille, Lyon, compatriotes à Paris, banquiers) lui rapportent des gains supplémentaires non négligeables.
Pour finir, il faut encore mentionner qu’une collecte est également réalisée au sein même du canton du Valais. Un arrêté du Conseil d’État est adressé à toutes les communes le 20 juillet 181834, une semaine après celui envoyé aux cantons suisses. Le produit se montera à 5740,37 francs suisses, ce qui est beaucoup pour une population aux moyens financiers limités et qui a déjà passablement donné en prestation en nature.
Les collectes des cantons suisses et celles initiées par les Anglais ne sont pas les seules à voir le jour. Le compte rendu publié en juillet 1820 par le Comité de bienfaisance établi à Martigny35 en dresse une liste exhaustive, accompagnée de l’énumération de dons particuliers.
En voici deux exemples. Le premier est la collecte de Philippe-Sirice Bridel, pasteur vaudois plus connu sous le nom du « doyen Bridel ». Grand connaisseur du Valais, dont il laissera une description très utile aux historiens d’aujourd’hui36, il s’est beaucoup démené en faveur des sinistrés de la débâcle, notamment en rédigeant et publiant plusieurs récits de ses courses au Giétro37. D’après un témoignage, il aurait même imaginé acheter du terrain en Valais pour les malheureux qui ont tout perdu38. Sa collecte, qui se monte à 75 louis (1200 francs suisses) et qui sera transmise au prieur de Martigny en novembre 1818, le déçoit39. Il faut pourtant préciser que ses communications publiées ont sans doute eu un impact important sur les autres collectes et que ses relations, notamment avec M. de Luze, négociant à Morges, ont ouvert d’autres voies payantes. Le deuxième cas est le don du duc et de la duchesse de Berry d’un montant de 1334 francs suisses (2000 francs français). Ce duc, fils du futur Charles X, est alors un des principaux prétendants à la succession de Louis XVIII, roi de France, mais il sera assassiné en 1820. Ce don est fait en souvenir du dévouement et de la fidélité des Suisses, « les plus anciens et les plus fidèles alliés de la France »40. Le comte de Talleyrand, ambassadeur de France en Suisse, s’occupe d’en informer le Conseil d’État valaisan le 14 juillet 1818. Il précise que le duc et la duchesse ne veulent pas que leur nom apparaisse dans les journaux41. L’ambassadeur fera lui-même un don généreux de 800 francs suisses.
Stratford Canning (1786-1880), descendant d’une ancienne famille anglaise, diplomate et politicien britannique, cousin et protégé de George Canning (1770-1827), ministre des Affaires étrangères puis premier ministre. Il est chargé de missions pour le Foreign Office dès 1807, notamment à cinq reprises en Turquie. En 1814, il reçoit la charge de ministre plénipotentiaire en Suisse, vacante depuis 1799. Il supervise la restauration de la Confédération et prend part au congrès de Vienne en 1814-1815, comme membre de la Commission chargée des affaires suisses. Il reste en Suisse jusqu’en 1819, puis sert aux États-Unis entre 1820 et 1824, comme envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire. Il devient ambassadeur dans l’Empire ottoman de 1825 à 1828, puis de 1841 à 1858. Entre 1828 et 1841, il est plusieurs fois député à la Chambre des communes. Il est élevé au rang de vicomte Stratford de Redcliffe en 1852. Dès 1858, il se retire de la vie publique42.
A l’époque de la débâcle du Giétro en 1818, Stratford Canning est en Suisse. Il vit à Lausanne. Sa jeune femme, Harriet Raikes, y est d’ailleurs décédée une année plus tôt. Il connaît bien la politique de ce pays puisqu’il contribue à sa destinée depuis 1814. Il connaît également le Valais : il y passe en septembre 1814 où il rencontre les autorités provisoires. Il participe ensuite à certaines discussions concernant la restructuration du canton en 1814-1815. Il côtoie alors Charles Emmanuel de Rivaz, qui sera grand bailli en 1818 lors des événements liés à la débâcle du Giétro, et d’autres politiciens valaisans qui semblent impressionnés par le « jeune mais distingué ministre »43. L’implication de Stratford Canning en tant que président de la souscription anglaise en faveur des sinistrés n’est donc par réellement une surprise !
La débâcle ne touche pas que la population locale. Plusieurs Suisses ou étrangers de passage sont présents au mauvais endroit au mauvais moment. Heureusement pour eux, leurs pertes ne seront que matérielles. Certains portent plainte auprès du gouvernement valaisan, qui peu de temps auparavant avait assuré que le passage du Valais était sûr alors que des rumeurs circulaient sur sa dangerosité. Il s’agit de Smith, de son épouse et de leurs domestiques, de Vicat, maître de poste à Genève, de Simon, négociant de Chamonix, de William Lunell Guinness, Irlandais, de son épouse, Susanna Newton, et de ses domestiques44. W. L. Guinness (1779-1842) n’est autre que le cinquième fils d’Arthur Guinness (1725-1803), fondateur de la fameuse brasserie Guinness à Dublin.
En 1818, cela fait environ dix ans qu’il est codirigeant de l’entreprise avec deux de ses frères45. Contrairement aux Anglais qui font preuve d’une grande générosité envers les sinistrés, Guinness cherche à se faire rembourser intégralement sa perte, revenant à la charge auprès du gouvernement à plusieurs reprises. Cette attitude contraste avec celle de W. Thomas Athorpe, également touché par la débâcle, qui ne réclame rien, faisant même un don des plus généreux46.
Le 14 juillet 1818, une annonce parue dans La Feuille d’avis de Lausanne annonce dans sa rubrique « Ventes » : « Chez D. Petillet, libraire près le Collège : Sermon prononcé à Genève le 28 Juin 1818, par le pasteur Mouline, à l’occasion de l’innondation qui a désolé la vallée de Bagne et la ville de Martigny en Valais, le 16 du même mois. Se vend 3 batz au bénéfice des victimes de ce malheur. » [Feuille d’avis de Lausanne, 14.07.1818, p. 2]
1. Jean-Luc Rouiller, « Le Valais par les dates : une chronologie des origines à nos jours », Annales valaisannes, 1999, p. 171 ; Janine Fayard Duchêne, « La circulation des personnes dans la vallée du Rhône à la fin du XVIIIe siècle, à travers les fiches des auberges de la cité de Sion », Vallesia, 1994, p. 219-220. ↑
2. AEV, 3 DTP 31.1/1-8. Lien vers l'inventaire. Pour consulter la liste des documents numérisés dans le dossier 31.1, voir l'index des documents numérisés. ↑
3. AEV, 3 DTP 31.3.2/1. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
4. AEV, 3 DTP 31.3.2/2. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
5. AGSB, 5006, imprimé (29.06.1818). ↑
6. AEV, 3 DTP 31.3.2/5. Lien vers l'inventaire. Voir le document.
AEV, 3 DTP 31.3.2/6. Lien vers l'inventaire. Voir le document.
AEV, 3 DTP 31.3.2/8. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
7. AEV, 3 DTP 31.3.2/5. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
8. AEV, 3 DTP 31.3.2/7. Lien vers l'inventaire. Voir le document ; AEV, 3 DTP 31.3.2/8. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
9. AEV, 3 DTP 31.3.2/9. Lien vers l'inventaire. Voir le document ; AEV, 3 DTP 31.3.2/10. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
10. AGSB, 5006, Brouillons: 20.06.1818. Voir le document. Et 25.06.1818. Voir le document. ↑
11. AGSB, 5006, Lettre du prieur à Stratford Canning (10.10.1818). ↑
12. Correspondance entre le prieur et Élisabeth de Cerjat : AGSB, 5006, Lettres du: 21.06.1818, 30.06.1818, 05.07.1818, 24.07.1818 et autres sans date.
Dictionnaire historique de la Suisse, « Cerjat, Élisabeth Jeanne de » ; consulté le 22.10.2017. ↑
13. AGSB, 5006, Lettre du prieur au grand bailli (10.10.1818). ↑
14. AGSB, 5006, Lettres d’Élisabeth de Cerjat au prieur: 30.06.1818, 10.10.1818. ↑
15. Voir Le Comité de bienfaisance. ↑
16. AEV, 3 DTP 31.3.2/5. Lien vers l'inventaire. Voir le document ; AEV, 3 DTP 31.3.2/6. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
17. Gazette de Lausanne du 18.08.1818, p. 2 ; AEV, 3 DTP 31.3.2/4. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
18. AEV, 3 DTP 31.2.4/1. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
19. AEV, 3 DTP 31.2.19/6. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
20. AEV, 3 DTP 31.2.19/1. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
21. AEV, 3 DTP 31.2.19/9. Lien vers l'inventaire. Voir le document ; AEV, 3 DTP 31.2.19/12 Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
22. AEV, 3 DTP 31.2.6/1. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
23. AEV, 3 DTP 29.4.2 ; Lien vers l'inventaire. Voir le document; Bulletin officiel et Feuille d’Avis, 1818, n°28 (11.07.1818), p. 220. Voir le document. ↑
24. AEV, 3 DTP 29.4.1. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
25. AEV, 3 DTP 28.8, p. 33. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ; AEV, 3 DTP 31.2.19/8. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
26. AEV, 3 DTP 29.4.2. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
27. AEV, 3 DTP 28.8, p. 29. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
28. AEV, 3 DTP 29.4.2. Lien vers l'inventaire. Voir le document ; biographie dans Albert de Montet, Dictionnaire biographique des Genevois et des Vaudois qui se sont distingués dans leur pays ou à l’étranger par leurs talents, leurs actions, leurs œuvres littéraires ou artistiques, etc., 1877-1878, Lausanne, p. 232 et s. ↑
29. AEV, 3 DTP 29.4.1. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
30. AGSB, 5006, Lettre du trésorier d’État à François Delacoste (13.03.1820). ↑
31. AGSB, 5006, Lettre du grand bailli au prévôt (16.09.1818) Voir le document. ↑
32. AGSB, 5006, Lettre du grand bailli au prévôt (13.10.1818). Voir le document. ↑
33. Alois Fässler, « La naissance de la solidarité confédérale. Les actions d’entraide suite à l’éboulement de Goldau (1806) », dans Christian Pfister, Le jour d’après : surmonter les catastrophes naturelles : le cas de la Suisse entre 1500 et 2000, 2002, p. 59-69. ↑
34. AEV, 3 DTP 29.3.1/2. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
35. AEV, 3 DTP 29.2.15. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
36. Philippe-Sirice Bridel, Essai statistique sur le canton du Valais, Zurich, 1820. ↑
37. 16 juin 1818, Débâcle du Giétro, Collection du Musée de Bagnes n°1, 1988, p. 61-63 et 91-137. ↑
38. AGSB, 5006, Lettre d’Élisabeth de Cerjat au prieur (sans date). ↑
39. AGSB, 5006, Lettre de Bridel au prieur (25.10.1818). Voir le document. ↑
40. AEV, 3 DTP 31.3.1/1. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
41. AEV, 3 DTP 31.3.1/1. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
42. Informations tirées de : Dictionnaire historique de la Suisse, « Canning Stratford », consulté le 22.10.2017 et de Wikipedia, consulté le 22.10.2017. ↑
43. Jean-Marc Biner, Émile Biollay, « Nouvelles d’il y a cent cinquante ans. Les événements du Valais du 25 décembre 1813 au 10 septembre 1815, d’après la Gazette de Lausanne et le Journal Suisse », Annales valaisannes, 1965, p. 66 ;
Émile Biollay, «Des treize cantons du département (1813) aux treize dizains du canton (1815) », Annales valaisannes, 1965, p. 35 ;
Émile Biollay,« Documents relatifs à l’histoire de la réunion du Valais à la Suisse (1813-1815) », Vallesia, 1965, p. 14, 21, 47, 49, 51-52, 61, 65, 69, 76, 78-79, 90, 149. ↑
44. AEV, 3 DTP 30.3.2/1. Lien vers l'inventaire. Voir le document. ↑
45. Bill Yenne, Guinness : The 250 Year Quest for the Perfect Pint, 2007, Appendix A, Second Generation. ↑
46. Voir Un vaste élan de générosité ; AEV, 3 DTP 31.1.1. Lien vers l'inventaire. Pour consulter la liste des documents numérisés dans le dossier 31.1.1, voir l'index des documents numérisés. ↑